Passages obligés (Josélito Michaud)

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Passages obligés (Josélito Michaud)

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Passages obligés (Josélito Michaud)

Passages obligés (Josélito Michaud)

Catégorie :  Littérature

Français

Format :  souple

262 pages

ISBN :  2-7648-0285-4

ISBN 13 :  978-2-7648-0285-7

Éditeur :  Libre Expression 2006

Édition :  1ère

Dimension :  225x220x20mm

Poids :  832g

Condition :  très bonne

Résumé du Livre : 

TEMOIGNAGES BOULEVERSANTS DE PERSONNALITES BOULEVERSEES, LA PERTE DE L'ETRE AIME COMME UNE BLESSURE AU COEUR : LA MORT, PASSAGE OBLIGE DANS CE CHEMIN DE LA VIE !
Des mots sur les maux...
Des paroles qui chantent l'absence...
Des photos qui trahissent la douleur...

Ce livre en noir et blanc, blanc comme la pureté et l'apaisement serein, noir comme la tristesse et le deuil, est un magnifique recueil de mots sur la mort de l'autre.
Séparation, douleur, dépression, absence mais aussi joie, apaisement, sérénité, présence brûlante ou souvenirs lointains... L'être aimé, parfois au loin mais toujours près du coeur.

Marie Fugain, Orlando, Garou, LucPlamondon et de nombreuses autres personnalités évoquent la mort d'un proche, d'une soeur, d'un ami, d'un enfant, d'un parent et posent des mots sur le déchirement vécu et la déchirure en soi.
Revivre la mort, en parler dans la paix ou dans la fureur, tenter de comprendre ce qui se passe chez celui qui reste, poser des mots pour guérir et ne pas oublier. Voir la douleur chez ces artistes, la même que l'on a traversée, que l'on traverse, que l'on traversera... La mort de l'autre comme un passage obligé !

Leur regard dans ce très beau livre, fixé sur la pellicule, reflète la mort vue, vécue et ressentie. Les portraits-photos troublants, qui affirment la présence, sont comme un pied-de-nez à la mort qui a emporté l'être aimé. On y entrevoit parfois une forme de cynisme, une ironie triste qui se dégage de ces personnes, toujours là et vivantes... Les photos sur deux pages en début d'interview contrastent avec celle de la fin de leur conversation avec l'auteur : la personnalité a disparu, comme la mort qui a fauché, l'absence photographiée... pour marquer une fin.

Cet ouvrage sonne le glas de la blessure; il se lit comme une confession intime et se regarde comme on regarde un paysage d'automne, mélancolique mais néanmoins plein d'espoir.